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Articles du Dr Nasim

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Articles de santé phytomisan, Alimentation et santé des yeux

Alimentation et santé des yeux

Alimentation et santé des yeux Roger Castell             Dans notre société, la vision est nettement le sens le plus sollicité. Les écrans multiples (ordinateurs, Smartphones, tablettes, jeux vidéo) habituent tous les jours nos yeux à la vision de près. La fatigue oculaire qui en découle permet de comprendre pourquoi 80% des Français portent des lunettes ou des lentilles. Pourtant, l’alimentation pourrait jouer aussi un grand rôle pour détériorer ou améliorer cette fonction. 1 – La vision : une fonction complexe. La vision résulte d’un processus complexe qui met en œuvre plusieurs organes, capables de capter puis de transformer une simple sensation lumineuse en influx nerveux transmis au cerveau. Finalement, ce ne sont pas les yeux qui voient, mais bien le centre visuel du cerveau. En revanche, les deux instruments visuels doivent être en bon état pour transmettre des informations précises. Mais cet état dépend d’abord du niveau général de la santé de notre corps, puisque nos yeux dépendent exclusivement de la circulation sanguine pour les nourrir et les nettoyer. En améliorant la qualité et la pureté du sang, en stimulant l’apport de sang vers la région des yeux et en éliminant la présence des toxines, vous assurez à vos yeux un meilleur fonctionnement. Dans cet objectif, 3 aspects complémentaires devraient donc être appliqués : des apports énergétiques de qualité (alimentation, boissons, respiration et sommeil), des exercices musculaires localisés et des pratiques favorisant l’élimination. Toutes les trois sont indispensables, mais je développerai ici seulement, le rôle essentiel de l’alimentation (1). 2 – Bien choisir pour mieux voir             Comme pour tous les organes du corps, les yeux ont besoin de bonnes décisions, pour conserver une bonne vision et éviter les troubles oculaires liés au vieillissement. Par exemple, la nourriture peut apporter de graves inconvénients ou des nutriments essentiels à la bonne santé des yeux. Le bon choix est donc nécessaire.             Aliments nocifs à bannir. Parmi la nourriture pouvant présenter un danger pour les yeux, figurent les trois déshydratants, les trois toxiques, le stress  et les graisses saturées. Tous sont nocifs, car ils favorisent à la fois la viscosité du sang et l’acidose tissulaire. Le sang rendu épais circule de plus en plus mal dans les minuscules vaisseaux capillaires, chargés d’apporter la nourriture aux cellules visuelles, puis d’emporter les déchets de leur fonctionnement. Quant à l’acidose, cette accumulation d’acides dans les tissus de l’œil, elle va contribuer à fragiliser les délicats organes chargés de la vision, en provoquant des inflammations, dans les vaisseaux (artérite) et dans les tissus (conjonctivite …) accompagnées parfois de douleurs (migraine ophtalmique).             Les 3 déshydratants sont le sucre et tous les produits sucrés (desserts, friandises), les sels, aussi bien le sel de table pour la cuisine, que tous les sels ajoutés aux charcuteries et aux aliments industriels (nitrites, conservateurs), sans oublier les sels contenus dans l’eau (robinet,  minérale) et enfin les médicaments, qui sont tous composés de molécules chimiques.             Les 3 toxiques pour les yeux sont les boissons (alcoolisées et sucrées), le tabac et tout ce qui favorise l’acidose, d’abordcertains aliments consommés en excès (céréales, féculents, protéines, fromages …), mais aussi ls stress, qui consomme beaucoup d’énergie et perturbe l’assimilation des nutriments essentiels.             Enfin, les graisses saturées favorisent le cholestérol. Or, quand le taux est trop élevé dans le sang, le cholestérol peut entraver le transport des nutriments vers l’œil et même favoriser l’occlusion des micro-vaisseaux rétiniens. Ceci peut provoquer des troubles de la vision et contribuer à l’accumulation des lipides dans la cornée, créant un anneau jaunâtre sur l’œil. Pour bien voir il faut donc réduire ou même parfois supprimer les graisses saturées (fromage, charcuterie, pâtisseries, beurre…).             Face à cette liste, il appartient donc à chacun de bien comprendre où est son intérêt. 3 – La nourriture bénéfique pour les yeux.             Cette nourriture comporte trois boissons et des aliments précieux qui proviennent quasiment tous du règne végétal. Ils devraient être consommés tous les jours. – Les boissons favorables.             L’eau est indispensable pour irriguer les cellules des yeux et pour assurer la composition des larmes. Elles sont essentielles au bon fonctionnement de l’œil, puisque sans elles, on peut perdre jusqu’à 2 dixièmes de la vision. Il faut donc boire chaque jour 1 litre et demi d’eau pure et peu minéralisée. Veillez à la savourer lentement, comme un grand vin en faisant tourner chaque gorgée dans votre bouche, pour la mélanger à votre salive et favoriser ainsi sa diffusion dans toutes les cellules de votre organisme, y compris celles de l’œil.             Le vin rouge à raison d’un verre par jour peut convenir pour profiter de ses pigments bénéfiques (resvératrol) et de ses flavonoïdes qui améliorent la micro-vascularisation de la choroïde et de la rétine de l’œil.             Les infusions complètent l’hydratation en apportant les particules anti-oxydantes contenues dans certaines plantes comme le thé vert, la verveine et le romarin… – Les aliments favorables.             – Mangez des fruits et des légumes frais, bio et crus. Vous profiterez ainsi de toutes les vitamines, dont la précieuse vitamine C indispensable pour stimuler la production du collagène. C’est elle qui renforce la structure des petits vaisseaux de l’œil, préserve la transparence des humeurs et évite la cataracte. Vous pouvez aussi préparer vos légumes en cuisson douce « cuits al dente » pour garder intacts les enzymes.             – Faites le plein d’antioxydants naturels, pour réduire le vieillissement cellulaire. Ces nutriments se trouvent en abondance dans les fruits et les légumes colorés (tomate, mangue, papaye, brocoli, carotte, épinard, poivron …). Préparez trois fois par jour des crudités « arc en ciel », dès le matin avec les fruits (juteux, secs et séchés) en complétant avec de l’huile bio de 1ère pression (olive, colza, noix, cameline …), puis le midi et le soir avec les légumes crus de saison. Vous bénéficierai ainsi de la vitamine E et du précieux oméga 3 qui sont tous les deux indispensables pour nourrir les minuscules cellules des yeux et du cerveau. Vous profiterez aussi des pigments colorés, notamment la lutéine et la zéaxanthine qui participentà

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Articles de santé phytomisan, Les magnifiques fonctions vitales de la peau

Les magnifiques fonctions vitales de la peau

Les magnifiques fonctions vitales de la peau Roger Castell             La peau est l’un des organes du corps humain les plus importants pour l’entretien de la santé, mais la plupart des adultes ignorent ce rôle essentiel et méconnaissent la réalité des diverses fonctions qu’elle assure et que nous allons présenter après avoir rappelé sa composition et sa constitution. 1 – Composition de la peau             La peau est l’organe le plus étendu et le plus lourd du corps humain, puisqu’elle couvre la surface de 2 m2 avec un poids évalué à 3,5 kg. D’un point de vue chimique, la peau comprend en moyenne 70% d’eau, 27,5% de protéines, 2% de matières grasses et 0,5% de sels minéraux et oligo-éléments (1). Sur le plan physique, le pH (potentiel acido-basique) de 4,7 à 5 montre un milieu acide, fortement hydraté et très protecteur contre les bactéries pathogènes qui se développent généralement dans un milieu basique. Cependant pour ne pas modifier ce pH, l’eau et les produits utilisés (savon, crèmes, pommades, …), devraient être plutôt acides, ce qui est rarement le cas (2). Enfin, la peau possède normalement un potentiel antioxydant (rH2) efficace et une résistance élevée face aux nombreuses agressions auxquelles nous sommes confrontés. Mais les capacités de défense sont très variables car elles dépendent du niveau de vitalité de chacun d’entre nous.             Ces diverses informations témoignent toutes de l’importance que la peau doit jouer dans la préservation de la vie, en rappelant notamment, la forte concentration en eau (70%), en protéines (27,5%), l’absence complète des sucres et le rôle fondamental des produits d’hygiène à bien choisir, pour obtenir un entretien sans inconvénients et qui soit vraiment efficace. 2 – Structure de la peau             La peau est constituée de trois couches de tissus superposés en étroite relation et qui ont chacun des fonctions spécifiques : l’épiderme, le derme et l’hypoderme (voir schéma). Mais il existe aussi d’autres enveloppes de type énergétique (éthérique, aurique, psychique …), évoqués par Alain de Luzan dans son article et que nous présenterons dans un autre dossier.             L’épiderme.             Cette partie extérieure semi-perméable de la peau de moins d’un millimètre d’épaisseur, présente plusieurs couches de cellules, dont une couche superficielle cornée qui assure la protection. En dessous, se trouve la couche basale ondulée parfaitement méconnue et pourtant très active. D’après le biologiste Marchesseau (3), cette couche reçoit et transforme les déchets provenant des tissus et du sang des capillaires voisins, elle fabrique la vitamine D à partir du cholestérol et elle protège la peau des rayons solaires nocifs, par le brunissement, en activant la sécrétion de mélanine (pigment brun), pour éviter le risque d’oxydation et de brûlure. Elle constitue une véritable barrière de protection face aux facteurs extérieurs (pollution, soleil, froid) et aux risques de la perte d’eau intérieure. Enfin, elle assure le renouvellement cellulaire permanent pour remplacer les cellules usées, qui migrent peu à peu vers la couche cornée composée de cellules mortes (pellicules), qui sont éliminées quand le sujet se lave, s’habille et s’active. Le cycle complet de création de nouvelles cellules et des transformations pour obtenir la couche cornée est de 15 à 22 jours. (4).        Le derme.             Situé sous l’épiderme, le derme est la couche interne de la peau, 4 fois plus épais que l’épiderme. Le derme assure la protection et la réparation des tissus endommagés (coupures, écorchures), grâce au collagène, dont il est constitué, qui lui permet d’élaborer le tissu cicatriciel. Le derme nourrit l’épiderme et contient les terminaisons nerveuses, les vaisseaux sanguins, parfois du tissu adipeux et surtout les glandes qui favorisent l’élimination des toxines. Les glandes sudoripares fabriquent la sueur, les glandes sudorales apocrines sont responsables de l’odeur corporelle, les glandes sébacées contiennent les racines des follicules pileux (poils et cheveux) et secrètent le sébum, un biofilm hydrolipidique qui protège et assoupli l’épiderme.             L’hypoderme             Situé sous le derme, l’hypoderme est un tissu conjonctif adipeux traversé par les nerfs et les vaisseaux arrivant dans le derme. Il joue plusieurs rôles, dont celui d’amortir les pressions auxquelles la peau est soumise, notamment dans les fesses et les talons, de protéger l’organisme des variations de température (isolant), de stocker les graisses (réserve énergétique), d’accumuler les déchets (acides, minéraux usés) et de modeler la silhouette (svelte ou enrobée). Mais la graisse, la cellulite, les calcifications et les lipomes (tumeurs bénignes graisseuses), gonflent les cellules et déforment le corps au fur et à mesure de la dégradation de la santé. Il faudra s’efforcer d’éviter leur concentration en choisissant les habitudes de vie les mieux adaptées. 3 – Principales fonctions de la peau             La peau est beaucoup plus qu’une simple enveloppe de protection. C’est un organe à part entière, dont il faut connaitre les fonctions pour comprendre réellement les causes des maladies qui l’affectent. La peau joue en effet plusieurs rôles fondamentaux dont celui de protection vis-à-vis de l’extérieur, de régulation thermique, d’épuration, d’information et en plus, la peau a une incontestable fonction psychosociale et « esthétique », par sa couleur, sa texture et ses « décorations ».               Protection             Véritable interface avec le monde extérieur, la peau constitue une barrière souple et efficace, qui protège les organes de la plupart des agressions extérieures : infections, blessures et rayons solaires nocifs. C’est le cas notamment des ultraviolets dont elle se protège, grâce à la présence des mélanocytes, produisant la mélanine, ce pigment brun antioxydant, qui assure le bronzage de la peau. En isolant le milieu corporel intérieur, la peau permet aussi de limiter les pertes d’eau, tout en étant semi-perméable aux liquides extérieurs (pommades, huiles essentielles …). Enfin, la peau joue un rôle important dans la protection immunitaire du corps humain, grâce à la présence entre l’épiderme et le derme de la cellule de Langerhans. Capable de phagocytose, elle ingère les débris cellulaires et même les cellules cancéreuses présentes dans l’épiderme (5) .             Régulation de la température corporelle             Selon son épaisseur, sa texture, sa couleur et sa pilosité, la peau absorbe et émet plus ou moins bien la chaleur, notamment

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Articles de santé phytomisan, comment mincir sans danger.

Comment mincir sans danger ?

Comment mincir sans danger. Roger Castell             Chaque année, l’approche de l’été voit revenir, dans les revues féminines, les articles et les promesses séduisantes des « régimes alimentaires », destinés à faire maigrir les lectrices “enrobées”. Ces régimes sont souvent décevants car la corpulence d’un être humain est le résultat d’un équilibre complexe dans lequel interviennent de nombreux facteurs : génétiques, endocriniens, alimentaires et psychologiques. D’ailleurs il n’existe pas de poids idéal, ni de “régimes miracles” valables pour tout le monde. Méfiez-vous des traitements dangereux, à base de coupe-faim, d’extraits thyroïdiens ou de pilules diurétiques, car ils présentent tous des inconvénients. Mon objectif n’est donc pas de proposer un régime, mais simplement d’apporter quelques conseils qui devront être personnalisés. C’est ainsi qu’il sera possible de mincir sans danger, de retrouver son poids de forme et d’augmenter la vitalité, en apprenant à bien choisir parmi les 7 conditions, celles qu’il sera possible de mettre en application (1). Supprimez les stimulants graisseux. Les deux catégories d’aliments : glucides et lipides doivent être judicieusement choisies. Dans ce but, éliminez les glucides concentrés (sucre blanc et roux) et les lipides saturés (charcuteries), choisissez les glucides peu concentrés (fruits, légumes) et les légumineuses (lentilles, flageolets …), réduisez les céréales même biologiques et non raffinées (pain, pâtes), utilisez enfin, de manière raisonnable les lipides végétaux d’excellente qualité nutritionnelle. Les huiles de 1ère pression à froid (olive, colza, sésame, tournesol, noisette…), doivent toujours accompagner vos crudités aux repas du midi et du soir. Augmentez les réducteurs de glycémie. Pour éviter le stress insulinique, responsable de la prise de poids, choisissez des aliments qui ont un indice glycémique très bas, notamment, les protéines végétales (tofu, lentilles, haricots…), les céréales germés (blé, seigle…) et tous les végétaux : légumes, algues et aromates (ail, persil) à inclure à chacun des repas (midi et soir), surtout quand ils contiennent des céréales (pâtes, riz). Adoptez une alimentation hypocalorique. Consommez crus et cuits beaucoup de légumes riches en fibres et en vitamines associés à une protéine maigre (tous les poissons et les volailles) et revitalisés avec des aromates (ail, persil, ciboulette). Au cours des repas, mangez lentement, buvez seulement un peu d’eau et à la rigueur un verre de vin (au maximum). En dehors des repas, l’eau pure ou citronnée devrait être la seule boisson (1 litre par jour au minimum). Respectez le rythme des 3 repas par jour pour éviter la fringale et le grignotage. Prenez un petit déjeuner copieux (salade de fruits variés juteux et oléagineux), un repas de midi en 2 parties (crudités et plat du jour, comprenant des légumes cuits, une portion de céréale et une portion de protéine). Prenez un repas du soir plus léger pour bien dormir et éviter le stockage des graisses pendant le sommeil en évitant les fromages et surtout les desserts. Hydratez-vous convenablement             Buvez régulièrement de l’eau et remplacez le besoin factice de grignotage par un verre d’eau ou une infusion tiède bus lentement en in-salivant chaque gorgée pour favoriser l’assimilation. Cette simple habitude de boire de l’eau (nature ou citronnée), quand vous ressentez une « petite » faim, favorisera l’amincissement. Prévoyez des cures d’épuration             Les cures d’épuration représentent un excellent moyen pour entretenir la santé. Elles sont nombreuses (2), mais les plus simples à réaliser sont les cures saisonnières, pratiquées au printemps, en été et en automne, en consommant au cours d’une journée (ou plus), seulement des fruits de la saison, que la nature offre généreusement à notre appétit (cerises, pêches, raisins …). Ces cures ont trois avantages physiologiques : économiser l’énergie nerveuse, drainer les toxines et réguler le poids, en éliminant les bourrelets (3).             Albert, un jovial commercial de 52 ans, témoigne de son nouveau plaisir de vivre. ” J’ai bien cru que je serais incapable de supprimer les frites et le steak de mes menus quotidiens. J’ai donc profité l’année dernière de mes vacances dans l’Ardèche, pour faire une cure estivale de 3 jours, en mangeant seulement des fruits du matin au soir. Toute la famille a participé et ma femme était ravie, car elle n’avait plus de cuisine à faire. Nous nous sommes régalés de pêches juteuses et de melons sucrés. C’est absolument délicieux. Pour moi, ça n’a pas été facile au début, mais j’ai réussi à tenir et j’en suis très content. C’est vraiment formidable car ma brioche a fondu et mes filles me trouvent mieux. Nous comptons refaire cette année, la cure estivale pendant 5 jours…”. Apprenez à maîtriser le stress.             L’état de stress a tant d’inconvénients, qu’il doit être maîtrisé, en mettant en œuvre, par exemple, les quelques conseils proposés. – Supprimez d’abord tous les produits toxiques souvent pris comme « anti-stress », car ils perturbent toujours le fonctionnement de votre organisme. C’est le cas du tabac, des drogues, des médicaments, des boissons alcoolisées ou hyper sucrées … – Evitez ce qui entretient l’état de tension intérieure, notamment les émotions violentes (spectacles) et surtout la rumination mentale négative. – Recherchez an contraire, le calme, le bien-être et l’harmonie avec, les distractions saines (loisirs, rencontres, sport, action…) et le contact avec la nature, la relaxation profonde et le sommeil naturel, la pensée positive pour cultiver la confiance, la joie et l’optimisme. – Apprenez à bien gérer votre vie pour limiter les stress. Soyez organisé(e) dans votre travail. Evitez le surmenage, car il incite souvent à trop manger comme moyen de compensation, ou à remplacer les repas équilibrés par un simple sandwich et un grignotage permanent (4). Marguerite, jeune retraitée de l’enseignement âgée de 62 ans, a bien compris la raison de sa prise de poids et de son grignotage « compulsif ». ” La cause principale de ma prise de poids était le grignotage, dont j’avais pris l’habitude pour réduire le sentiment de « vide » que je ressentais. Oui, c’est bien l’ennui et l’angoisse qui me donnaient parfois, une sensation proche de la panique. Alors, dès que je me sentais angoissée, je me jetais sur des gâteaux secs ou du chocolat que je dévorais goulûment. Evidemment à ce régime, j’ai pris rapidement du poids.

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Articles de santé phytomisan, le stress, des symptômes à la protection

Le stress, des symptômes à la protection

Par Roger Castell Le mode de vie dans les pays industrialisés, multiplie les occasions de conflits, de frustrations, de soucis, de peurs, de contraintes et de surmenages. On appelle stress l’ensemble des réactions musculaires, physiologiques et psychologiques déclenchées par un événement stressant. Mais, comment se manifeste cette réaction et comment peut-on se protéger ? 1 – Les mécanismes du stress             Le stress correspond à une mobilisation de l’énergie, pour agir, se défendre ou s’adapter à la réalité. Lorsque le stress est léger, le signal d’alerte est suivi d’une phase de récupération de l’énergie. Tout rentre donc vite dans l’ordre. En revanche, si le stress est violent (choc affectif) ou s’il est permanent (critiques ou reproches par ex.), les réserves d’énergie s’épuisent pouvant conduire à une dépression (par manque de récupération), ou à une somatisation (par incrustation). En effet, lorsque la réaction (verbale et corporelle) n’est pas possible, l’énergie mobilisée va se bloquer produisant une surtension dans un organe (gorge, ventre, dos …) et créer une détresse mentale. Cependant pour qu’un stress puisse perturber longtemps (par dépression ou somatisation), il faut en général 3 conditions : * un tempérament émotif, sensible et plutôt introverti (avec tendance à la rumination mentale) ; * un choc émotionnel violent, inattendu et humiliant (avec souvent une ambiance anxiogène) ; * une impossibilité pour le sujet de se libérer en exprimant sa révolte (avec des mots et des cris). 2 – Principales causes et conséquences du stress Les causes, très nombreuses, concernent l’ensemble de la vie humaine : – la vie sociale : environnement bruyant, travail de nuit, compétition acharnée, productivisme ; – les émotions négatives : peurs, craintes, insécurité … ;  – les sentiments négatifs : pessimisme, envie, jalousie… ; – les pensées négatives : dramatisation, remords, culpabilité, dévalorisation ; – les situations : conflits (profession, famille), frustrations (divorce, chômage), chocs (agression). Mais il existe aussi des causes psychologiques inconscientes (promesses, dettes, soumissions) ou des motivations secrètes (autopunition – démission – culpabilisation…).             Les conséquences des stress excessifs (violents ou répétitifs), peuvent perturber la santé et devenir une source de souffrance et d’angoisse. La localisation de la surtension entraîne des perturbations aux niveaux du comportement, de la physiologie et de la psychologie de la personne stressée. – Le comportement est modifié par les tensions musculaires, qui favorisent les sensations de fatigue et de crispations dans la gorge ou le ventre, mais aussi les accès de colère, de violence, de bouderie et les risques de fugue et de suicide…. Très souvent, pour se libérer des tensions, la victime d’un stress cherche une solution « relaxante », mais tombe alors dans le risque de dépendance. C’est le cas des choix orientés vers les boissons alcoolisées, le tabac, les drogues, les médicaments et la boulimie d’aliments salés ou sucrés … – La physiologie est perturbée à cause des tensions viscérales qui entrainent des troubles digestifs, circulatoires ou sexuels, des migraines ou des maladies de peau, … – La psychologie est également altérée par suite des tensions mentales, qui créent des idées fixes, des peurs, de l’angoisse, de la haine, de la culpabilité et de l’insomnie  …. La sensation de stress permanent est si désagréable qu’il est normal de vouloir s’en libérer. Mais certaines solutions adoptées par beaucoup de français sont inadaptées puisqu’elles contribuent à accentuer la détresse. C’est le cas de tout ce qui entraine une surconsommation (tabac, boissons, médicaments, grignotage). Heureusement, il existe de meilleures solutions, comme par exemple : agir, penser positif et apprendre à se relaxer… 3 – Agir pour se protéger sainement En parlant de lutte contre le stress, on néglige souvent le rôle efficace des procédés les plus simples, comme la convivialité, l’expression et l’action. – La convivialité. Les occasions de rencontres amicales (autour d’un verre, ou au cours d’un jeu), sont efficace pour se détendre et oublier ses soucis. Les histoires amusantes, les anecdotes, ou les chansons reprises en chœur, sont alors les bienvenues. Car le rire est le premier des anti-stress et le fou-rire le plus merveilleux des tranquillisants. Le succès des films comiques est tout à fait compréhensible, dans un monde où les tensions se multiplient. Pour vivre plus détendu, évitons de prendre la vie (et nous-même) trop au sérieux et apprenons à cultiver l’humour et la bonne humeur. – L’expression. Quelle soitverbale ou corporelle, l’expression est un anti-stress efficace car elle a pour effet de réduire ou d’éliminer la pression intérieure. Favorisons autant que possible les rencontres pour échanger, c’est à dire parler de soi-même mais aussi écouter, s’intéresser aux autres et entreprendre en commun. – L’action. L’action est le 3ème “contrepoids” du stress. Toutes les actions de distraction ou de coopération peuvent convenir puisqu’elles permettent d’oublier les soucis et même parfois de se défouler. Nous pouvons tous trouver un passe-temps qui sera bénéfique : sport, peinture, musique, danse, promenade, jardinage, théâtre, bénévolat, collection de timbres, chorale, voyages, réalisation en groupe, etc.L’important est d’y mettre tout son cœur et d’y puiser beaucoup de joie. Mais on peut aussi ne pas agir et se reposer (sieste) ou ne rien faire (rêver). 4 – Valeur de la pensée positive             Même provoqué par des circonstances extérieures (divorce, chômage…), le stress de longue durée est toujours entretenu par la pensée. La personne stressée ne pense qu’à son problème dès le moindre instant de solitude ou de silence. Ce blocage mental est une idée fixe, qui l’empêche de trouver des solutions satisfaisantes, car le cerveau encombré toute la journée par le bavardage intérieur rumine exclusivement des faits négatifs. Le bavardage négatif.             Le monologue intérieur aborde bien sûr des sujets personnels qui dépendent d’événements vécus. Cependant les principaux sujets de ce monologue concernent, les inquiétudes, les dévalorisations et les non-dits. * L’inquiétude favorise les idées noires et la vision négative de la vie. L’inquiet est un pessimiste. Il exagère la difficulté des situations vécues ou futures et dramatise les conséquences même peu probables. Cette habitude entretient un état de tension qui peut créer des sensations d’angoisse ou de panique … * La dévalorisation conduit à avoir une perception très critique de soi-même. Le

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Articles de santé phytomisan, le merveilleux mais fragile système immunitaire

Le merveilleux mais fragile système immunitaire

  par Roger Castell             Le système immunitaire a pour fonction de protéger l’organisme pour maintenir la vie, mais depuis une cinquantaine d’années, on assiste à une détérioration des mécanismes de défense, qui agissent contre les propres cellules, créant des « maladies auto-immunes », qui compromettent gravement la santé des victimes. Quelle est la cause de cette situation et que faire pour les éviter en tenant compte des acquis de la bioélectronique Vincent ? 1 – Organisation du système immunitaire             Le système immunitaire est l’ensemble des organes et des cellules qui assurent la défense de l’organisme contre l’introduction d’éléments étrangers (bactérie, virus …). Les cellules du système immunitaire sont les globules blancs, qui circulent dans le réseau sanguin et dans le réseau lymphatique pour protéger l’organisme.             Ces globules proviennent tous des cellules souches localisées dans la moelle osseuse, qui se différencient en cellules ayant un rôle spécialisé, soit pour détruire les corps étrangers, soit pour produire des anticorps dans le but de se protéger (voir schéma).             Par exemple, la peau est une protection efficace contre la pénétration des microbes en raison de l’épaisseur de l’épiderme, de son acidité naturelle (pH de 6,2) et des sécrétions (sueur). Mais une blessure même légère enclenche une série de réactions de défense contre les microbes qui ont pénétré et qui vont proliférer dans le derme, un milieu favorable par sa température et les nutriments qu’il contient. Les globules blancs interviennent alors pour ingérer et détruire les microbes. S’ils résistent, une lutte s’engage qui va produire une inflammation dans la zone infectée, avec les trois caractéristiques d’un abcès : le gonflement, la chaleur et la douleur (1). L’hygiène de la plaie est indispensable pour aider le système immunitaire dans sa lutte et favoriser une cicatrisation rapide (schéma).             Normalement, les cellules du système immunitaire ont la faculté de reconnaitre ce qu’il faut protéger, parce qu’utile à l’organisme et ce qu’il faut détruire comme un élément étranger (microbes venant de l’extérieur) ou des cellules devenues inutiles (cellules usées, cancéreuses ou anormales). Malheureusement, il arrive de plus en plus souvent, que le système immunitaire se détériore et s’attaque à des tissus normaux de l’organisme pour les détruire. 2 – Les maladies auto-immunes               On regroupe sous l’appellation de « maladies auto-immunes » un ensemble de réactions aberrantes du système immunitaire, dont les cellules (lymphocytes) ou les substances de défense (anticorps) agissent de manière anormale et sans raison, contre les cellules de certains organes, comme si c’était des corps étrangers. Ce mécanisme anormal qui entraine de graves perturbations de la santé, touche 8% de la population et principalement les femmes. Il s’accompagne d’une inflammation au niveau de la muqueuse de l’organe affecté. (2)             De nombreuses maladies sont provoquées par ce dérèglement du système immunitaire. Parmi celles-ci on peut citer : la thyroïdite de Hashimoto (responsable dans la majorité des cas d’une hypothyroïdie), la maladie de Basedow (responsable d’une hyperthyroïdie), certaines insuffisances surrénaliennes, le diabète de type 1 insulinodépendant, certaines anémies comme celle de Biermer, la myasthénie, la sclérose en plaque, la polyarthrite rhumatismale, etc.             Toutes ces réactions témoignent d’un terrain hypersensibilisé et désorganisé, mais aussi d’une augmentation considérable des substances toxiques, fragilisant les organismes. 3 – Le terrain d’après la bioélectronique             La bioélectronique est une technique scientifique capable de définir le terrain de bonne santé et celui des diverses maladies, grâce aux mesures réalisées avec un bioélectronimètre, sur trois liquides du corps : le sang, la salive et l’urine. (3) Ces mesures précisent, pour chacun des liquides, trois paramètres :   – le potentiel Hydrogène (pH), dont l’échelle varie de 0 à 14, signale la concentration en protons et le caractère acide (de 0 à 6,9), neutre (à 7) ou basique (de 7,1 à 14) du liquide mesuré ; – le facteur d’oxydoréduction (appelé rH2) dont l’échelle varie de 0 à 42, signale la concentration en électrons et le caractère réducteur (de 0 à 27,9), neutre (à 28) ou oxydé (de 28,1 à 42) du liquide mesuré ; – la résistivité (appelée rô) est la concentration en électrolytes mesurée en ohms.cm.             Pour le sang veineux, les normes de très bonne santé sont : pH = 7,35 ; rH2 = 21 à 22 et rô = 210 ohms.cm. Les micro-courants mis en œuvre par les échanges d’électrons correspondent à une tension de 210 millivolts. Ce sang est donc légèrement basique, plutôt réducteur, peu chargé en électrolytes et peu électrisé. Il devrait être celui de l’ensemble des adultes, mais ce terrain est devenu en 50 ans dramatiquement rare.             Actuellement, la plupart des Français affichent des mesures souvent très éloignées de ces normes en raison de leurs habitudes et des conditions de vie, qui modifient peu à peu l’équilibre du milieu intérieur, prédisposant aux diverses maladies. Les maladies auto-immunes sont situées sur le bioélectronigramme (voir graphique ci-contre), dans les zones 3 selon le niveau de l’oxydation et de la surcharge en toxines. L’oxydation commence en effet sournoisement dès le rH2 de 24 et surtout de 25, par suite de la perte de plus en plus importante des électrons, qui sont une des sources de la vitalité immunitaire. L’organisme s’affole alors, dans une réaction de défense de plus en plus désespérée, pour se libérer du poison sans comprendre sa nature souvent inconnue. 4 – Les perturbateurs du terrain             De nombreux perturbateurs favorisent les maladies auto-immunes, en modifiant les mesures bioélectroniques, qui s’éloignent peu à peu ou parfois brusquement des normes de la santé. Ces perturbateurs sont les pollutions, les habitudes nocives et le stress.          * Les pollutions dangereuses.             Les poisons contenus dans notre environnement représentent une des causes principales de la dramatique détérioration de la santé. Nos concitoyens n’ont pas encore pris conscience de la gravité et de l’étendue de cette catastrophe sanitaire car l’omerta règne en ce domaine malgré les tentatives d’information de quelques associations de « santé naturelle ». On peut regrouper ces pollutions en quatre catégories : – Les pollutions chimiques encombrent l’air, l’eau et les aliments de millions de molécules qui colmatent les membranes des cellules, freinent l’assimilation de l’oxygène, intoxiquent les cellules (poumons,

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Articles de santé phytomisan, Entretien avec le Dr Shahid Nasim

Entretien avec le Dr Shahid Nasim

« Le bonheur et l’épanouissement sont possibles et accessibles par tous » (citation du Dr Nasim, extraite de l’entretien) NDLR. Je suis heureux de vous présenter un homme exceptionnel par son humilité, ses compétences et sa générosité. Émilie Barrère lui propose notre questionnaire pour mieux connaître sa riche personnalité et il a accepté aussitôt en répondant avec gentillesse à toutes les questions. Vous découvrirez, comme nous, un être humain attachant et désireux de partager ses recherches médicales dans un mais humanitaire ealtruiste. Je remercie infiniment le Dr Nasim pour la qualité de cet entretien. R. Castell. Le Président, Association de Bio-Électronique Vincent France Qui êtes-vous Dr Nasim ? Je suis le Dr Shahid Nasim, chirurgien et oncologue, aussi diplômé en médecine douce. Je suis un ancien interne des hôpitaux de la région d’Alsace, puis d’Allemagne et de divers hôpitaux de pays étrangers avant d’ouvrir mon cabinet médical à Bâle en Suisse en 1997. Pendentif ce temps, j’ai aussi commencé la recherche pour créer ma gamme Phytomisan. Issu d’une famille de diplomates à l’Onu, j’ai eu une enfance avec une éducation riche et multiculturelle. En étant scolarisé dans les différents paie où mon père est muté, j’ai pu apprendre la langue des pays d’accueil, si bien que je maîtrise 7 langues. J’ai eu mon baccalauréat à l’âge de 15 ans, en sautant plusieurs classes et à 22 ans, mon doctorat en médecine. Je suis devenu chirurgien à 27 ans, cancérologue à 30 ans puis diplômé en médecine douce. J’ai également obtenu mon DEUG d’Allemand à l’Université de Bielefeld et je suis aussi diplômé en littérature anglaise de l’Université de Londres. Quels souvenirs gardez-vous de votre enfance ? Je garde de très bons souvenirs de mon enfance. Nous étions trois enfants et l’harmonie régnait dans notre famille, voiture nous étions très unis. Je n’ai jamais créé de grands problèmes à mes parents et je suis encore en contact avec certains anciens camarades et même des enseignants. Ce sont des souvenirs qui ont bien forgé toute mon existence. J’ai adoré mes parents et les ai toujours admirés. Je suis issu d’une famille très écoénée et modeste. Comme j’étais depuis mon enfance, un élève très brillant, calme et sérieux, j’ai été très aimé par tout le monde et spécialement par mes grands-parents. Mes deux grands-pères ont été militaires ; l’amiral de la marine et l’autre général de l’armée de terre. Ils m’ont montré l’importance de la discipline et du courage pour réussir dans la vie. Mon papa m’a toujours encouragé pour les choses positives et montré qu’il est possible d’avancer dans la vie même sans rien. Malheureusement, à l’âge de 7 ans, j’ai perdu ma mère, atteinte d’un cancer. Notre vie de famille un été bouleversée. Avant de mourir, ma mère m’a fait promettre de devenir médecin afin de donner un espoir aux malades du cancer. Je me suis donné alors pour seul objectif, d’honorer ma promesse, en devenant médecin mais aussi cancérologue et chercheur. Je suis certain que mes parents seraient fiers de moi. J’ai eu une vie pleine d’amour et de réussite dans la vie professionnelle, mais j’ai aussi vécu avec douleur, les décès successifs de mes parents, de mes grands-parents, des autres membres de la famille, ainsi que des amis. Mais malgré tout, la vie continue à son rythme. Qu’est-ce qui vous a incité à entreprendre des recherches professionnelles & scientifiques ? J’ai toujours été fasciné par la médecine de la santé naturelle, car la nature a toujours joué un rôle important dans le maintien de la santé et la guérison des maladies. Quand j’ai commencé mon travail en tant que médecin, j’ai vu les effets secondaires des médicaments à travers les traitements du cancer par la chimio et les radiothérapies. Je suis alors demandé comment mes collègues dans le passé, traitaient les maladies de leurs patients sans la science et la technologie actuelle. Pour trouver la réponse à cette question, je suis plongé dans la littérature ancienne sur les connaissances médicales des grands médecins de l’époque, tel que le célèbre médecin persan Ibne Sina (Avicenne en latin, 980-1037). Dans plusieurs ouvrages, dont son célèbre Canon de la médecine, j’ai sélectionné plus de 300 plantes que j’ai utilisées sur mes malades, accompagné du massage aux huiles selon ma propre technique. Cette étude et ces recherches ont changé complètement ma vie et mes pensées, car j’ai trouvé une nouvelle démarche pour le traitement du cancer et d’autres maladies. Commentaire avez-vous connu la Bioélectronique Vincent ? J’ai été contacté par Mme Émilie Barrière, qui a découvert mon produit à base de Curcuma fermenté « Curcumisan Plus » dans une revue. Elle m’a demande d’envoyer des échantillons pour le test du pH par l’ ABEV. Par la suite j’ai reçu un mail avec le résultat de M. Roger Castell, accompagné d’un magnifique article sur le Curcuma publié dans Sources Vitales n° 97 de décembre 2015. Depuis ce jour, une relation extraordinaire s’est établie entre nous grâce à la sympathie de Roger à mon égard et pour mes produits. Je suis devenu membre de l’ ABEV et je vais participer vivement pour l’ ABEV France avec mes articles sur la santé, afin de faire connaître l’ ABEV France à mes malades et à mon entourage. Je remercie Mme Émilie Barrière et M. Roger Castell pour l’accueil chaleureux qu’ils m’ont réservé, leur gentillesse, leur dévouement, leur disponibilité et bien sur leur connaissance extraordinaire sur les questions de la santé. C’est un grand plaisir et un honneur de collaborer avec ces personnes qui sont comme une pierre qui rayonne et une étoile authentique et magique de gentillesse. Je tire mon chapeau devant vous et je m’incline profondément avec une grande gratitude. Je souhaite vivement participer à l’ ABEV France par mes articles et je mettrai mes 2 livres sur la santé en début d’année prochaine à la disposition des membres de l’ABEV. D’après votre expérience, quelles sont les vertus importantes pour être heureux dans la vie ? Faire le bien pour les autres, penser aux autres

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Le curcuma une épice exceptionnelle

LE CURCUMA UNE ÉPICE EXCEPTIONNELLE

  Par Roger Castell   Le curcuma est une épice qui jouit en ce moment d’une très grande renommée. Quelles sont ses vertus réelles et comment peut-on la consommer pour en tirer le meilleur bénéfice pour la santé ? Origine et propriétés de la plante Les épices sont des substances aromatiques utilisées pour assaisonner les mets. Le curcuma entre dans cette famille, très appréciée par les gourmets, dans laquelle on trouve : les clous de girofle, la noix de muscade, le gingembre… Le curcuma (Curcuma longa) originaire du sud de l’Asie, est une plante herbacée vivace à tige pouvant atteindre un mètre de haut. Cette plante requiert un grand ensoleillement, peu d’eau mais un sol très fertile. Proche cousin du bananier, le curcuma regroupe une quarantaine de variétés, qui ont des feuilles lancéolées, des fleurs jaune pâle et un rhizome noueux à la chair orange vif. Son rhizome séché et réduit en poudre est une épice très populaire contenue dans le curry, un mélange d’épices utilisé dans la cuisine indienne. En Asie, on sait depuis longtemps que le curcuma permet de conserver la fraîcheur, la saveur et la valeur nutritive des aliments. Cette épice a donc joué un rôle primordial d’additif alimentaire, bien avant l’époque des conservateurs synthétiques. En médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l’Inde), de même que dans les autres médecines traditionnelles d’Asie (Chine, Japon, Thaïlande, Indonésie), le curcuma est utilisé pour éliminer de nombreux problèmes de santé (digestion, circulation, inflammation). Au cours des 20 dernières années, des substances appelées curcuminoïdes ont été isolées dans les rhizomes du curcuma. Il s’agit d’antioxydants puissants, qui pourraient expliquer les nombreuses indications médicinales traditionnelles de cette plante. Elle est utilisée dans le traitement des troubles inflammatoires (douleurs rhumatismales ou menstruelles) et pour accélérer la guérison des lésions de la peau (ulcères, blessures, gale, eczéma). Enfin, le curcuma est particulièrement populaire au Japon dans l’île d’Okinawa, où les habitants attribuent au curcuma la raison principale de leur longévité exceptionnelle. Valeur thérapeutique de la plante Les études sur les vertus thérapeutiques du curcuma sont très nombreuses, mais elles découlent toutes de ses propriétés exceptionnelles d’antioxydant et de fluidifiant sanguin. Elle peut donc être un produit très efficace contre les inflammations et les maladies de dégénérescence qui sont toutes des maladies d’oxydation. Voici quelques brèves conclusions pour plusieurs maladies. Le curcuma pourrait protéger du cancer, car les données épidémiologiques montrent que plusieurs cancers (côlon, sein, pancréas, prostate, poumon, estomac, œsophage, lymphome, leucémie) sont peu nombreux en Asie. A un âge égal, les Indiens ont 8 fois moins de cancers du poumon que les Occidentaux, 9 fois moins de cancers du côlon, 5 fois moins de cancer du sein et jusqu’à 10 fois moins de cancers du rein. Les Indiens ne sont pas moins exposés que les Occidentaux aux « cancérigènes » présents dans l’environnement. Leur protection proviendrait du curcuma dont la consommation élevée est environ de 1 à 2 g par jour (équivalent d’un quart à une demi-cuillère à café). Il pourrait également participer au traitement du cancer, guérir les ulcères de l’estomac, réduire l’hyperlipidémie et diminuer le risque de maladies cardiovasculaires. Il pourrait enfin, soulager les maladies inflammatoires (arthrite rhumatoïde, gingivite…) et même les scléroses en plaque. Des chercheurs s’intéressent également aux effets bénéfiques potentiels de la curcumine sur la maladie d’Alzheimer. Son rôle pour améliorer la digestion est unanimement reconnu. En stimulant le foie, il favorise l’excrétion de la bile et c’est pourquoi, il entre comme composant principal dans l’Hépatoum®, précieux rééquilibrant après les excès de table. En régulant l’hyperacidité, le curcuma protège aussi les parois de l’estomac contre les brûlures gastriques. Sa présence dans le curry est donc justifiée, car il réduit l’acidité apportée par les épices « chaudes ». Enfin, il agit avec les enzymes du foie responsables de la détoxication, pour faciliter l’élimination de certains toxiques comme l’arsenic et ceux liés à la prise de médicament. Mesures bioélectroniques Les mesures bioélectroniques (voir tableau cidessous) confirment la grande valeur de cette épice pour participer au maintien des normes de la bonne santé. La poudre de curcuma a un très bon potentiel énergétique qui en fait un produit conseillé pour un usage quotidien (1). Les gélules Curcumisan Plus sont excellentes pour préserver la santé en cures périodiques (2). Hépatoum peut apporter une aide ponctuelle appréciable en cas de troubles digestifs (3). La qualité de ces produits est nettement améliorée en ajoutant quelques gouttes de citron. Précautions d’emploi Il n’existe pas d’effets indésirables connus du curcuma. Cependant certains auteurs estiment qu’en raison de son emploi traditionnel pour traiter l’aménorrhée (absence de menstruations), les femmes enceintes devraient éviter de prendre de fortes doses de curcuma. La seule contre-indication concerne la présence d’un calcul biliaire qui pourrait s’évacuer trop vite. Par prudence, on conseille dans ce cas de ne pas prendre de curcuma. Les posologies généralement conseillées sont de deux types. Pour traiter les troubles digestifs, utilisez du rhizome séché en poudre. Prenez de 1,5 g à 3 g (1 à 2 c à c) par jour dans vos crudités ou en infusion, mettez 1,5 g de poudre (1 c à c) dans 150 ml d’eau frémissante et laissez infuser 12 minutes. Buvez 2 tasses par jour. Contre les inflammations, utilisez de l’extrait normalisé à 95 % en curcuminoïdes, en prenant l’équivalent de 200 à 400 mg, 3 fois par jour. Choisissez les extraits contenant de la pipérine (venant du poivre), pour améliorer l’absorption de la curcumine. Utilisation externe Antibactérien et anti-inflammatoire, le curcuma peut être appliqué en cataplasme pour soigner des pathologies comme l’eczéma, le psoriasis ou les mycoses. Pour augmenter la longévité active En raison de ses nombreuses qualités et de son absence d’inconvénient, le curcuma devrait figurer tous les jours dans toutes les assiettes, pour accompagner les crudités aussi bien que les plats cuits. Vous pouvez répandre un demi à une cuillerée à café de curcuma en poudre sur vos crudités de fruits du matin ou vos salades composées (midi et soir). Vous pouvez aussi mettre un morceau de rhizome de

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LE CANCER DU SEIN

Le cancer du Sein

Lors de l’AG du 1er avril au Mans, nous avons eu le plaisir et l’honneur d’accueillir le Dr Shahid Nasim, oncologue, qui nous a présenté une conférence sur le cancer du sein. Je remercie le Dr Nasim pour sa conférence et pour son article annoncé par Émilie Barrière, dans son résumé inclus dans le compte-rendu de l’AG, publié dans le Sources vitales n°103 de juin. Roger Castell. Le cancer du sein est le plus fréquent et le plus diagnostiqué des cancers chez les femmes à travers le monde. Une femme sur 8 est actuellement touchée par ce cancer en France et ce chiffre pourrait doubler d’ici vingt ans malgré les progrès de la technique et du dépistage précoce. Le cancer du sein se développe dans les trois quarts des cas chez les femmes de plus de 50 ans et à 95% à partir des cellules épithéliales de la glande mammaire : on parle alors d’adénocarcinome. Anatomie des seins Les seins, symboles de la séduction et de la féminité par excellence, sont une partie du corps très sensible et très fragile. Les seins commencent à se développer dans l’utérus, quelques semaines après la formation de l’embryon. Au sixième mois de la grossesse, certaines cellules se développent pour devenir les mamelons du bébé. Chez les filles, la plupart de temps, les seins se forment entre 8 et 11 ans, mais même quand ils sont complètement développés, ils ne peuvent à cet âge produire du lait. Pendant la grossesse, les seins augmentent en taille et deviennent deux fois plus lourds. Ils pèsent en moyenne entre 150 et 400 g mais peuvent atteindre parfois 1 kg. À la ménopause, le volume des seins diminue. L’intérieur du sein est composé de vaisseaux sanguins, de nerfs, de glandes, de cellules graisseuses et de canaux galactophores qui servent à transporter le lait jusqu’au mamelon. Les tissus mammaires sont influencés par des hormones (œstrogène et progestérone) produites par les femmes en quantité variable tout au long de leur vie (puberté, grossesse, allaitement…). Facteurs de risques À ce jour, de nombreux éléments de notre quotidien ont été suspectés d’augmenter le risque de développer un jour un cancer du sein. Les principaux sont : – la présence de certains gènes présentant une mutation des gènes BRCA 1 et BRCA 2 ; – la précocité des premières règles avant l’âge de 12 ans, une première grossesse tardive après 35 ans et l’absence de grossesse sont des facteurs importants de risque ; – l’alcool, le tabagisme et la consommation excessive de calories (matières grasses, desserts, viandes grasses et saignantes), augmentent le danger, de même que l’absence d’activité physique ; – une hormonothérapie substitutive (œstrogène  et progestérone) accroît légèrement le risque après 5 ans de traitement, ainsi que les contraceptifs oraux, s’ils sont pris pendant plusieurs années. Symptômes et complications Le premier symptôme couramment observé du cancer du sein est la présence d’une boule dans un sein. En général non douloureuse, cette masse peut être accompagnée de ganglions durs au niveau de l’aisselle (ganglions axillaires) correspondant à une propagation du cancer, mais les ganglions restent toutefois indolores. Les autres symptômes sont : un écoulement du mamelon, les douleurs au sein, un mamelon qui se renferme vers l’intérieur et la peau du sein qui s’épaissit, durcit ou encore rougit. Lorsqu’une tumeur apparaît dans les canaux galactophores, la taille et la forme du sein peuvent changer. En outre, le mamelon peut rentrer vers l’intérieur ou la peau peut se rétracter, entraînant ainsi la formation d’une fossette. Les métastases apparaissent lorsque certaines cellules d’une tumeur se détachent et se déplacent vers d’autres parties du corps, en passant par les vaisseaux sanguins ou lymphatiques. Les tissus atteints sont souvent, les ganglions lymphatiques, les poumons, le foie, les os, le cerveau et la peau. Au moment où les métastases sont découvertes, le cancer s’est probablement déjà disséminé en d’autres endroits, même si ces tumeurs ne sont pas dépistées. Diagnostic médical Un diagnostic clinique préalable doit être fait par une palpation du sein par votre médecin. Pour confirmer et affiner son diagnostic, il pourra prescrire ensuite une mammographie bilatérale, puis une analyse biologique de la tumeur. La radiographie des deux seins permet de voir l’aspect de la masse, la biopsie confirme la présence de cellules cancéreuses et si nécessaire, une échographie pourra préciser, par exemple, si la boule est un kyste composé de liquide ou plutôt une tumeur solide. Le dépistage précoce du cancer du sein réduit la probabilité de dissémination du cancer et augmente les chances de guérison complète. Traitements médicaux Le traitement classique associe la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. – La mastectomie consiste en l’ablation totale de la glande mammaire, tout en épargnant les muscles pectoraux. La tumorectomie, chirurgie moins invasive, consiste à retirer la tumeur en préservant au maximum la glande mammaire. Elle concerne 75% des cas. La technique du ganglion sentinelle permet aujourd’hui d’éviter de devoir enlever tous les ganglions de la zone s’ils ne sont pas touchés. Dans le cas de tumeurs de moins de 2 cm, le chirurgien l’enlève en même temps que la tumeur. – La radiothérapie fait aussi quasiment toujours partie du protocole de soins pour un cancer du sein, notamment après une chirurgie conservatrice. L’objectif est de détruire, grâce à une irradiation ciblée, d’éventuelles cellules cancéreuses qui peuvent persister dans le sein. Les effets secondaires sont des rougeurs de la peau et de la sensation de fatigue. – La chimiothérapie administrée par injections, réduit la croissance des cellules cancéreuses, mais ses effets secondaires courants, comprennent des nausées, des vomissements, une perte de cheveux et des infections. – Enfin, l’hormonothérapie aide également à stopper la croissance des cellules cancéreuses et peut être utilisée pendant une période de temps pouvant aller jusqu’à 5 ans pour les femmes. Les bouffées de chaleur et les règles irrégulières figurent parmi les effets secondaires courants de l’hormonothérapie. La thérapie biologique réduit la croissance des cellules cancéreuses et aide l’organisme à détruire ces cellules, les thérapies ciblées viennent généralement compléter le protocole de soins

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